Ni perdue, ni retrouvée
Danse

Pierre Brye
Après Rumeurs, pièce chorégraphique créée en 2010, Sylvie Pabiot renouvelle son intérêt pour l’auteur contemporain Daniel Keene et poursuit sa recherche d’une expression hybride, rencontre du texte et de la danse, à partir d’une des pièces courtes de cet auteur australien : Ni perdue, ni retrouvée.
Créée en 2012 par Compagnie Wejna
Finalisation de la création : Création finalisée
Distribution :
Sur un texte de Daniel Keene, aux « Éditions Théâtrales » (traduction : Séverine Magois)
Chorégraphie : Sylvie Pabiot
Interprétation : Sylvie Pabiot, Ysé Broquin et un figurant de la ville d’accueil
Régie lumière : Thomas Nemer
Bande son : Conception Sylvie Pabiot, réalisation Romain Serre
Avec les voix de Luc Bony, Frédérique Lanaure et Sylvie Pabiot
Musique : Antonio Vivaldi, Stabat Mater (Eja Mater, Fac ut ardeat), Sinfonia pour cordes en B mineur Al Santo Sepolero
Production : Marie-Pierre Demarty
Partenaires :
Coproduction : compagnie Wejna, Théâtre d’Aurillac, scène conventionnée
Avec le soutien du ministère de la Culture et de la Communication / DRAC Auvergne et de la Ville de Clermont-Ferrand.
Remerciements au CND Lyon / Rhône-Alpes, à l’association Zoooum/La Diode et à la Cour des Trois Coquins à Clermont-Ferrand.
La compagnie Wejna est soutenue par le ministère de la Culture et de la Communication / DRAC Auvergne dans le cadre de l’aide aux compagnies chorégraphiques